Il était... un poème.

Ma danse s'accorde

avec une mélodie imaginaire

et mes mains dessinent

dans l'air des phantasmes

qui t'ensorcellent.

Quand je frôle ton corps

à la recherche de ton plaisir,

quand mes seins

se fraient un passage

dans ton espace,

à ce moment ton regard

s'illumine de mille couleurs

me rendant pareille à l'enfant

qui ne cesse de s'émerveiller

devant autant de beauté.

Prends-moi

quand j'aurai épuisé

mon énergie polissonne.

Aime moi avec démesure !

Je veux sombrer

dans l'euphorie

de notre bonheur.

© Gaston Rossignol